Titre : | Pourquoi je suis Chienne de garde | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Isabelle Alonso, Auteur | Editeur : | Paris : R. Laffont | Année de publication : | 2001 | Importance : | 157 p. | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-221-09196-8 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Féminismes
| Tags : | militantismes féminisme sexisme France 20e siècle | Résumé : | "Je n'avais jamais fait partie d'une association, d'un groupe, d'un parti. Un jour de mars 1999, je suis pourtant devenue Chienne de garde. Qu'est ce qui m'a pris? J'en ai eu assez. J'ai saturé. Comme mes compagnes de route dans cette aventure. Supporter la misogynie ambiante diluée dans le quotidien est une habitude que j'ai prise dès l'enfance. Comme toutes les femmes. Et comme beaucoup de femmes, je fais de la résistance." En réaction à un épisode somme toute banal de la vie politique (au Salon de l'agriculture de Paris, une ministre a été agressée par des insultes sexistes d'une violence insupportable, dans l'indifférence générale),les Chiennes de garde apparaissent. Une poignée de femmes, très rapidement suivies de centaines puis de milliers de femmes et d'hommes. Elles marquent la limite à ne pas dépasser. Elles tiennent les machos en respect. Parce que la violence verbale est la première étape de la violence générale contre les femmes. Parce que aucune loi ne réprime l'expression du sexisme. |
Pourquoi je suis Chienne de garde [texte imprimé] / Isabelle Alonso, Auteur . - Paris : R. Laffont, 2001 . - 157 p. ISBN : 978-2-221-09196-8 Langues : Français ( fre) Catégories : | Féminismes
| Tags : | militantismes féminisme sexisme France 20e siècle | Résumé : | "Je n'avais jamais fait partie d'une association, d'un groupe, d'un parti. Un jour de mars 1999, je suis pourtant devenue Chienne de garde. Qu'est ce qui m'a pris? J'en ai eu assez. J'ai saturé. Comme mes compagnes de route dans cette aventure. Supporter la misogynie ambiante diluée dans le quotidien est une habitude que j'ai prise dès l'enfance. Comme toutes les femmes. Et comme beaucoup de femmes, je fais de la résistance." En réaction à un épisode somme toute banal de la vie politique (au Salon de l'agriculture de Paris, une ministre a été agressée par des insultes sexistes d'une violence insupportable, dans l'indifférence générale),les Chiennes de garde apparaissent. Une poignée de femmes, très rapidement suivies de centaines puis de milliers de femmes et d'hommes. Elles marquent la limite à ne pas dépasser. Elles tiennent les machos en respect. Parce que la violence verbale est la première étape de la violence générale contre les femmes. Parce que aucune loi ne réprime l'expression du sexisme. |
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